INSTRUCTEUR SPÉCIALISÉE EN PSYCHOLOGIE ET EN COMPORTEMENT ÉQUIN
” J’ai toujours été passionnée, j’ai toujours rêvé de grandes chevauchées en liberté. Je n’aurais jamais pensé pouvoir si vite réaliser mes rêves, et en avoir de nouveaux tellement plus grands …”
Sarah Fricoteaux
OSTÉOPATHE D.O. POUR LES HUMAINS
EXPERT ÉQUILIBRE ET POSTURE DU BON CAVALIER
Mon histoire
Je n’ai jamais trouvé grand intérêt à raconter mon histoire que je trouve des plus banales, pourtant commune à la plupart des cavaliers.
Issue d’une équitation classique, j’ai eu la chance d’apprendre l’équitation avec de très bons instructeurs. J’ai obtenu le fameux Galop 7 à 13 ans et concouru quelques années en concours complet. Qui dit galop 7 dit pouvoir sortir en épreuves jeunes chevaux. Or cela rimait davantage avec répétitions de chutes et de refus qu’épanouissement à l’éducation des chevaux. La frustration liée à l’incapacité de trouver des solutions m’amène à changer de club et à totalement changer de discipline. Je m’oriente un an vers l’équitation western et vers le pony game où les chevaux et les poneys connaissent parfaitement leur job. Je m’y ennuie royalement jusqu’à rencontrer une jument dans ce club de pony games, tout droit venue du jumping amateur. Inarrêtable en carrière avec pessoa et martingale, je me retrouve une nouvelle fois démunie avec cette jument hors de contrôle, bien qu’elle porte le plus puissant des freins à main.
Dépassée par la situation, ma curiosité insatiable m’amène à chercher si le film “L’homme qui murmurait à l’oreille des chevaux” n’était que du cinéma. Le seul homme parlant d’un programme à suivre en 2000 se nomme Pat Parelli. A l’époque l’information concernant la psychologie équine est rare et inexistante en français, je me forme en anglais via les bribes de partages d’élèves américains. Les formations en ligne n’existent pas encore.
Quand j’ai assisté à ma toute première démonstration d’Andy Booth en province, j’ai été impressionnée par ce qu’il était capable de faire avec des chevaux de club qu’il manipulait pour la première fois. Ce n’est pas la qualité de la technique ni le whaou des exercices qui m’ont le plus excité, mais l’émotion et le lien possible ressenti entre lui et le cheval.
C’est ce que j’appelle aujourd’hui la connexion !
Vous voulez connaître un secret ? Il est possible de développer un état de fluidité, un partage d’idées et d’émotions intenses avec nos chevaux, bien plus loin que tout ce que j’aurais pu imaginer grâce au programme de Linda Parelli que j’enseigne aujourd’hui.